De la campagne «zone à risque» de 2010, il reste des panneaux aux chiffres bien obsolètes, qu’on aurait dû déplanter il y a plus de 5 ans. Article paru dans l'Avenir.

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Cette campagne de sécurité routière «zone à risque» avait été lancée en 2010 par la police fédérale et le Service public de Wallonie (SPW).

La nouvelle signalétique permettait de prévenir les automobilistes des grands axes autoroutiers wallons qu’ils entraient dans une zone accidentogène, avec un message en trois phases: un premier panneau pour signaler le nombre d’accidents dans la zone, le deuxième prévenant que le tronçon était équipé d’un radar et le troisième précisant le nombre de décès.

« Mais ce ne sont plus les bonnes données chiffrées: ça date de la période 2010-2014 », fait remarquer la députée wallonne Caroline Cassart (MR), dans une question écrite adressée à la ministre wallonne chargée de la sécurité routière Valérie De Bue (MR). «

On doit y être attentif, sinon ça perd de sa pertinence et de sa crédibilité », poursuit la députée.

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