Publié le 04/06/2021 à 09:06
Ouffet va équiper son territoire de plusieurs bornes de recharge. Une nouvelle borne pour voiture ainsi que quatre bornes pour vélos seront installées. Publié dans la Meuse Huy-Waremme.
Dans le cadre de l’appel à projets de la Région wallonne POLLEC 2020 (Politique Locale Energie Climat), la commune d’Ouffet a obtenu des subsides pour installer une nouvelle borne de recharge pour voiture électrique ainsi que quatre bornes pour vélo sur son territoire. « Nous avons participé à ce projet car nous avons la volonté de réduire notre empreinte écologique » explique la bourgmestre ouffetoise Caroline Cassart. « Si on veut des modes doux et des alternatives aux énergies fossiles, il faut aussi s’en donner les moyens. Ça nous paraissait indispensable dans cette transition vers une vision verte ».
La nouvelle borne pour voiture sera installée sur la Grand-Place d’Ouffet et s’ajoutera à la première, installée sur le parking d’écovoiturage de la rue aux Oies.
Les quatre bornes de recharge pour vélo seront placées dans les différents villages de la commune. À Ouffet, deux bornes seront installées : une sur la Grand-Place et l'autre au-dessus de la Sauvenière. Les deux bornes restantes seront placées à la nouvelle salle d’Ellemelle et à l’école de Warzée.
Une aide au tourisme
L’installation de ces bornes électriques pour vélo permettra de proposer un argument supplémentaire aux touristes et de donner un coup de boost au secteur. « Ces bornes seront un plus pour le tourisme. Le vélo électrique est fort tendance et ça nous permettra d’avoir un développement touristique par la mobilité douce, surtout que nous avons beaucoup de gîtes sur le territoire » note la bourgmestre.
Les recharges seront gratuites
Recharger sa voiture ou son vélo sera dans un premier temps gratuit. « On veut que la gratuité soit un moteur à la mise en place des moyens de transport écologiques. Si ces méthodes de transport se développent, notre décision évoluera peut-être mais tant que maintenant, on ne fera pas payer les recharges » conclut Caroline Cassart. Un point qui incitera probablement les citoyens à passer le cap vers ces nouvelles manières de se déplacer.