Le ministre Henry a expliqué les raisons du retard de la phase 2 de la liaison et annoncé les expropriations, en cours.
À la suite d’une interpellation de la députée-bourgmestre d’Ouffet, Caroline Cassart (MR), qui s’interroge sur «l’important retard» pris dans le chantier de la liaison Tihange-Tinlot (qui en est toujours à la phase 2) et sur les détails de la phase 3 (qui exige des expropriations), le nouveau ministre de la Mobilité, Philippe Henry (Écolo), a fait le point sur ce dossier capital en termes de mobilité en vallée mosane et dans le Condroz.
«La phase 2 du projet touche à sa fin. Le retard est dû à des situations imprévisibles rencontrées sur le chantier et auxquelles des solutions compatibles à la meilleure préservation de l’environnement ont été mises en œuvre», comme la création de mares à têtards ou encore la stabilisation des zones marécageuses. «Ce sont des techniques lentes mais qui sont les moins agressives en termes de respect environnemental.» La fin du chantier de la phase 2 est ainsi postposée à fin octobre tandis que la Région wallonne doit de nouveau intervenir sur les réalisations de la phase 1, pourtant terminées. Il faut ainsi sécuriser certains lieux comme des parois rocheuses instables. «Ces travaux sont prévus dans le marché de la phase 3», précise le ministre.
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Article paru dans l’Avenir Huy-Waremme le 18 octobre 2019
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