Le label "Cantines durables", lancé en février dernier, a-t-elle réussi à atteindre son public malgré la crise sanitaire?

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En février dernier, vous lanciez le label « Cantines durables » qui se voulait le pendant « reconnaissance officielle » des signataires du Green Deal, qui était davantage une mobilisation collective visant, dans ce cas-ci, à augmenter l’aspect durable des repas proposés.

Il était dès lors possible à tous les milieux de vie offrant une restauration collective en Wallonie – tant publics que privés – de s’inscrire gratuitement dans ce programme de labellisation pour démontrer le caractère durable des repas qui y sont servis. Des repas qui devront dès lors viser la santé et le bien-être des consommateurs, le développement local, la protection de l’environnement, la lutte contre le gaspillage ou encore l’accessibilité pour tous.

Madame la Ministre, quel bilan pouvez-vous tirer, un an plus tard, de la création de ce label ? Certes, les premiers mois de ce label ont cependant été quelque peu chamboulés par la Covid-19. Il semble que plusieurs améliorations ont été apporté au dispositif pour répondre au mieux aux préoccupations des cantines, notamment par l’allégement du dossier de candidature et l’assouplissement des conditions d’accès. Ces améliorations ont-elles porté leurs fruits? Malgré le contexte, des cantines se sont-elles lancées dans la démarche ? De nouvelles actions de communication sont-elles prévues pour faire parler de ce label une fois que la crise sanitaire sera derrière nous ?

La réponse de la Ministre